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· Poemes (16)
· Messages aux visiteurs (1)
artiste dans l'âme je t'invite sur un forum ou tu trouveras
enormement de chose
http://l a-symphonie.ex prime
Par Anonyme, le 05.12.2009
j'aime beaucoup tes poèmes
c'est forcément très personnel l'écriture
continu
bravo
Par vv bleue, le 24.10.2009
de trés beaux paroles qui traduisent le vrai et réel amour maternelle
Par salsabil, le 03.10.2009
je crois que vous parlez beaucoup plus de trahison que d'égoisme,et que je suis d'accord avec vous que c'est u
Par salsabil, le 03.10.2009
oublies la conjugaison et réinvente de nouveaux temps!
bonne chance!http:// mamansophie.ca nalblog.com.ce nte
Par mamansophie, le 29.09.2009
· Douce mélodie
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· L'eau de tes yeux
Date de création : 31.08.2009
Dernière mise à jour :
08.10.2009
18 articles
Lorsque la lumière laisse place a la nuit,
Lorsque la chaleur laisse place a la fraicheur,
Ma conscience laisse place a mes rêves.
Parfois et souvent mes rêves sont colores,
Parfois ils ont des airs de réalité,
Jamais un seul de mes rêves n'est sans toi.
Et puis parfois mes rêves sont sombres,
Et ils ont des airs de cauchemars,
Jamais un seul de mes cauchemars n'est sans toi...
Lorsque je revais de toi, nous etions au ciel,
Ciel qui etait plein d'etoiles autour de toi,
Etoiles qui faisaient briller la moindre parcelle de ta peau,
Peau qui luisait sous le bleu de la nuit,
Nuit qui etait aussi douce que l'amour,
Amour inconditionnel que j'avais et et j'aurais toujours pour toi...
Ton eau est celle qui me fait vivre,
Parfois signe de tristesse et parfois de joie,
Elle est fragile et vulnerable a souhait.
Coulant en perles sur tes joues,
Elle se fait tantot discrete et tantot exhuberante,
Pour noyer tes yeux de douceur ou de douleur.
Elle est celle qui me rend heureuse ou malheureuse,
Elle est celle qui me rend vulnerable a mon tour,
Elle est celle qui fait battre mon coeur,
Celle pour qui je ferais tout...
Je croyais que l'amour etait une chose merveilleuse,
Je croyais que l'amour etait un reve eveille,
Je croyais que l'amour etait un bonheur sans fin,
Je croyais que l'amour etait l'eveillement de la vie,
Mais je ne croyais pas, oh non,
Que l'amour etait la choses la plus douloureuse...
Les formes de ton corps epousant les miennes,
Je laisse mes mains parcourir ta peau,
Douce et sucree a la fois,
Elle a garde un parfum d'autrefois.
Autrefois, lorsque ton odeur m'ennivrait,
Les rituels etaient toujours les memes,
Une bougie parfumee de l'odeur de ta peau,
Encenssait la piece de ton parfum fruite.
Un parfum que je n'oublierais jamais malgres la distance,
Et qui me rapellera ta peau et son veloute,
Lorsque j'enfouis mon visage dans tes bras,
Je me retrouve quoi qu'il arrive au pays des songes...
La mer au loin claque sur le sable chaud,
Et je sens en moi monter la liberté.
Le soleil brule sur ma peau,
Et je vois vers moi un homme arriver.
Une ombre sur moi me donne des frissons,
Et cet homme prés de moi caresse doucement mon dos.
Mon corps peine à se relever,
Et impulsivement enveloppe charnellement le corps de cet homme.
Il me rend mes imprudence et me fait sentir vivante,
Mais hélas ce n’est pas mon mari qui m’enlace.
Mais alors ? Qui es-ce ?
Dans mon sommeil je vois un monde meilleur,
Une vie ou la pluie laisse à jamais place au soleil,
Un monde ou la pauvreté laisse place à la richesse,
Un univers de beauté ou le moche n’existe pas,
Une terre ou les hommes prennent conscience de leur chance,
Une planète en harmonie avec ses habitants,
Des ouragans laissant place au calme permanant,
Les teintes fades cédant leurs couleurs aux teintes vives,
La mort laisser place à l’immortalité…
Mais je rêve et je voudrais pouvoir rêver éveillée !
Mon pêché mignon et je l’avoue,
Est sans aucuns doutes le sucré,
Chaud ou froid et doux ou acidulé,
Tous aussi succulents qu’un bisou.
Sans eux je déprimerais,
Et même lorsque ça ne va pas,
Ils sont toujours la pour moi,
Jamais ils ne me contrarieraient.
Ils sont de toutes colorations,
Ils ont des formes improbables,
Heureusement je reste raisonnable,
Cette gourmandise est le bonbon
Je t’ai donné ma confiance comme on offre un cadeau,
Tu as pris ma franchise sans me donner la tienne,
Au jeu de la souffrance je pensais avoir tout vu,
Mais c’était avant de t’avoir connu.
Tu m’as fait des promesses que tu n’a jamais tenu,
Tu m’as ouvert le cœur avec un couteau infecté de malheur,
Alors ma blessure fut horriblement profonde,
Quand je découvris ton âme à visage nu.
Tu es le diable en personne et bien pire encore,
Personne ne m’avait fait autant souffrir que toi,
Je croyais que tu m’aimais mais en fait,
Tu n’es capable d’aimer que toi.
Le jour de ta naissance toi et moi nous nous sommes rencontres,
Ton visage etait une oeuvre d'art des plus belles,
Ton petit corps etait si chaud sur ma peau qu'il me brulait,
Tes cris pour moi etait un chant attendu.
Et puis aujourd'hui tu as grandi,
Je me rapelle de ton premier sourire et de ton premier rire,
Je me rapelle de tes premiers calins volontaires,
Je me souviens aussi de ton premier mot... PAPA
Pour toi je changerais le monde afin qu'il soit le plus merveilleux,
Pour toi je tuerais tous les gens qui oseront lever la main sur toi,
Pour toi je ferais le tour du monde afin de trouver les meilleurs remedes a tes maux,
Mais je ne suis pas parfaite et je ferais des erreurs...
Tout ce que je peux faire pour toi c'est t'aimer, mon bebe...